Cendres

Publié le par Lémuria



Prénom : Cendres 
 
Âge : 23 ans  
Sexe : Homme  
 
Petit passe temps : Faire couler le sang  
 
Pouvoir : Rapidité de Cicatrisation, télékinésie (mais ne controle pas du tout) et peut bloquer les pouvoir des anges   

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Histoire :   


 Légende ou réalité ?

            Dans l’ancien Japon, on raconte qu’un seigneur venait d’avoir des jumeaux, deux garçon. Leur oracle leur prédit alors que l’un des deux enfants n’était autre que le fils d’un démon : Lucifer, et qu’une fois l’adolescence atteint, il mettrait à mort ses parents avant de plonger le royaume dans une mer de feu et de sang. Naturellement, les parents ne voulurent pas y croire. Cependant, au quatrième printemps de leur enfance dorée, alors que le peuple grondait après que la rumeur de la prophétie ce soit rependue dans tout le royaume, le couple royal dû se résoudre à se séparer de l’un des deux enfants. Mais comment reconnaître le fils du démon ? L’on dit que le prophète plaça une pierre entre les deux enfants endormis. Elle devait désigner lequel des deux frères était la descendance de l’ange déchu.

            Il fut dit qu’une fois les jumeaux seuls, l’aîné, qui était bel et bien le fils de Lucifer, se saisit alors de la pierre et que d’une manière occulte, il l’incorpora au cœur de son frère, s’assurant ainsi de sa propre survie. Le cadet au regard devenu pourpre fut alors désigné par le prophète comme étant le fils du démon. Pour lui, la pierre avait reconnu le malin. Si le premier-né eut une enfance dorée au palais, le second fut recueillit par une tribut barbare.

            Celui que l’on nomme « fils du démon » fut élevé dans l’unique but de devenir un guerrier. Il devint d’ailleurs le meilleur du clan. Cependant, de par la pierre en son sein, il connaissait un besoin grandissant de déverser le sang. Plus se dernier coulait, et plus il en voulait, perdant bien souvent le contrôle de lui même. Combattant contre ses propres instincts démoniaques que la pierre avait engendré, les massacres qu’il perpétuait le hantaient. Son frère quant à lui tentait par tous les moyens de garder son humanité, bien que tout comme son frère, ses plus bas instincts n’avaient de cesse que de ressurgir. L’un de ses conseillé aux intentions peu louables, lui souffla à l’oreille que tant que la pierre existait, et par la même, tant que son frère vivrait, il risquait de devenir un démon. Bien sûr cet homme n’était autre qu’un fidèle de Lucifer, mais cela, le jeune homme l’ignorait. Il entreprit lors une véritable chasse à l’homme. Cependant il fut dit secrètement, que tant que les jumeaux n’avanceront pas main dans la main, à tout moment, ils pourraient basculer de l’autre côté et à jamais perdre leur humanité.

            Traqué, le « fils du démon », tout du moins, celui que l’on nommait ainsi, était hanté par l’abandon de sa famille. Il voulait comprendre d’où lui venaient son agilité, sa soif presque intarissable de sang, et son aptitude au combat. Pourquoi cicatrisait-il aussi rapidement ? À moins d’avoir perdu beaucoup de sang, cela ne prenait que quelques minutes… Voir plusieurs heures si le sang lui manquait. Guère plus… Autant de questions sans réponses qui le poussèrent à retrouver sa famille biologique. Cette même famille qui l’avait abandonné en espérant que les barbares allaient le tuer. Sa quête personnelle le poussa donc à quitter son clan d’adoption. Il était si déterminé qu’il était prêt à semer la pagaille au sein de sa famille. Ses parents l’ayant fait passer pour mort aux yeux de ses frères et sœurs aînés, son jumeau n’ayant jamais vendu sa part de responsabilité et sa véritable nature… Sans nul doute que son retour en chamboulerait plus d’un…

            Son nom : Cendres d’Espérance… Un nom offert par son clan d’adoption  

Psychologique :   

 
            Sûr de lui au combat, il ne l’est pas vraiment avec ses congénères qui se complaisent à l’appeler « fils du démon ». Discret, introverti, peu expressif, il impose cependant le respect. Comme si l’importante place qu’occupe sa famille au sein du pays se sentait et se transmettait de père en fils. Même au combat, il garde une certaine majesté. Très calme, on dit de lui qu’il faut se méfier de l’eau qui dort.

            Ne se contrôlant pas lorsque l’odeur du sang l’entoure, il sombre dans sa folie meurtrière. Personne n’est jamais parvenu à le calmer dans ses moments-là. Deux choses cependant l’arrêtent, qu’il n’y ai plus personne à tuer, ou qu’il ai une subite prise de conscience. Dans les deux cas, il est rongé par les remords et va vraiment mal, même si extérieurement, il semble impassible et intouchable. Ce qu’il est et fait le dégoûte au plus haut point. Et s’il était réellement le fils du démon comme tout le monde le prétend ? S’il venait à considérer que oui, il serait prêt à mettre lui-même fin à ses jours…

            Il n’est pas un jeune homme qui vit, mais un homme qui surit. Cependant, loin de baisser les bras ou de se complaire dans la torpeur, il se bat pour tenter de survivre, de comprendre, de se comprendre même, et même si la menace de sa folie meurtrière gronde, il fait avec et tente par tous les moyens d’avancer.

            N’ayant jamais eu d’ami proche il ne fait pas confiance facilement. Il ignore tout de l’amour mais sait une chose cependant, les femmes ne l’ont jamais attirées. Il sait qu’aimer s’est avoir une faiblesse et une attache. Il a conscience que ses ennemis ne se gêneraient pas pour s’en servir contre lui. Souffrir de cette manière lui fit peur. De plus, au sein du clan, il a vu des couples se défaire et se faire, la souffrance du cœur le paralyse presque.

  
Physique :   


            Il est grand, tout en muscle et de carrure plutôt « imposante » sans pour autant tenir de mastodonte. Depuis que son cœur et la pierre du démon ne font plus qu’un, son regard est devenu pourpre. Il n’exprime jamais ses sentiments. Il est droit et fier. Ses cheveux noirs, souvent en bataille, renforcent l’impression énigmatique de son visage. Il n’est jamais possible de savoir ce qu’il pense. Il ne porte que des vêtements où il se sent à son aise, et rien d’autre. Pourtant bien souvent des couleurs sombre, il est rare qu’il porte du blanc, mais lorsqu’il le fait, il faut s’attendre au pire. Il porte bien souvent ses lunettes, non pas qu’il n’y voit rien, mais cela renforce l’impression de sérieux. Il ne sourit que rarement, pour ne pas dire jamais.

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