Cladd de Médicis

Publié le par Lémuria

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On m'a donné le nom de Cladd De Borian lors de ma renaissance, bien que mon nom de famille était en réalité de Médicis. Vous ne comprenez pas? Je vais vous conter mon histoire au travers de ce récit.

Mon père de son nom Kadaj est un ange gris, gardien et protecteur de la famille aux cinq noms. Désireux d'être père, de sa magie, j'ai vu le jour. J'ignore encore comment aujourd'hui, mais le gris avait fait main basse sur moi. Un démon et mage noir du nom de Guitan, l'ancien tortionnaire et bourreau de mon père, m'emmena dans les catacombes.

Personne n'a jamais pu me retrouver et l’on me pensait mort. Ils n'avaient pas totalement faux. Quelque part je l'étais. J'ignore pour qu'elle raison, sans doute par vengeance, j'y fus torturé de toutes les façon possibles et imaginables. Étant aveugle et muet de naissance, il lui était aisé de me malmener puisqu'il s'était arrangé pour me faire atteindre mes huit ans en moins de deux jours. N'ayant pas eu le temps de développer mes autres sens, ;j'étais pour lui une proie facile. Malgré les coups, les tortures, les sévices, la douleur et les larmes, je n'ai jamais plié. Je dois tenir ça de mon père. Je ne sais pas ou j'ai puisé la force de leur résister, je ne me souviens pas de cette époque. Je me contente de vous narrer ce que l'on m'a conté.

N'arrivant pas à ses fins, Guitan fit appel à un démon du non de Seig. Il m'infligea un nombre incalculable de tortures tant mentales que physiques. L'entité découlant du père de mon père, j'ai nommé Sephyroth, se mit également de la partie. Lorsque l'un se lassait, l'autre prenait sa place. Cela se passait jours et nuits et mon enfer dura plusieurs années. Je ne sais pas par quel miracle mais pendant ces quatre années, je leur ai tenu tête et je ne me suis pas plié. J'ai ainsi développé mon esprit qui possède à présent une totale autonomie.

Se rendant compte qu'ils n'arriveraient à rien, ils me donnèrent la mort. Mon corps fut brûlé, mon esprit, ma lumière et mon âme furent enfermés dans un cristal afin que je ne trouve jamais le repos. Ainsi continua ma descente en enfer.

Les siècles passèrent et la pierre fut oubliée. En plus de 15 siècles, les choses avaient évolué, le monde avait bien changé...

Un beau jour, cinq survivants de la famille aux cinq noms, prirent la fuite des catacombes du gris. Il s'agissait de Luka Death, Sethys d'Abraxas, Noham De borian, Fallen Valentine et Evans Mudo. Tous nommés ainsi en mémoire de leurs ancêtres. Tous étaient les derniers rescapés de cette famille jadis tant redoutée. Sur leur route fut placé le cristal où je me trouvais prisonnier. Ils l'emportèrent et trouvèrent refuges dans les ruines de l'ancienne cité des miroirs du double. Sachant que leur temps était désormais compté, ils voulurent créer un être unissant leurs cinq sangs, espérant ainsi que leur famille ne tombe pas dans l'oubli et en mémoire de ceux qui s'étaient battus pour ce en quoi ils croyaient.

Se qu'ils firent. Cependant le savoir ancestral avait été perdu. Ils ne purent créer qu'une enveloppe charnelle. Pris de pitié pour moi, ils y placèrent mon esprit, mon âme ainsi que ma lumière. Deux êtres veillèrent, à leur insu à ce que je conserve ma cécité et mon mutisme afin de ne pas me perturber davantage. Ils prirent également soin de m'effacer la mémoire. Je fus porté par la seule femme survivante de l'époque : Noham De Borian. Avant que sa grossesse n'arrive à terme, il y eut une rafle. Tous furent prisonniers et de nouveau emmené dans les catacombes d’où ils avaient eu tant de mal à s'échapper. Les quatre homme furent torturés et tués sous les yeux horrifiés de la jeune femme. Celle-ci a vu son accouchement se faire provoquer. Je lui fus arraché de force. Sans le moindre soin, elle perdit la vie à son tour.


Ainsi continua mon chemin de croix. Chacun sa croix dit le proverbe, celle-ci était mienne. Le démon qui m'avait récupéré reconnu mon âme aussitôt. Il s'agissait de Seig qui lui aussi avait traversé malheureusement les siècles. Il me confia au seigneur des mondes. Ce dernier était une entité maléfique si puissante qu'il régnait sur tout et tous, tant les cieux, la surface, le gris les vivants que les morts. Il plaça en moi sa souche. Je fus de nouveau torturé et malmené et se dès ma naissance. Tout recommença. Je me souviens plus particulièrement d'une journée... La seule journée ou prisonnier des catacombes j'avais senti qu'il fallait que cela cesse. Ce jour la je voulais mourir plus que tout. Pourtant leurs tortures avaient été plus douces que d'ordinaire...

Il me lia les mains, et me plaça sur une l'échelle. De l'alcool fut jeté sur ma tête et le feu y fut mis pour me brûler la chevelure jusqu'aux racines. Il me plaça des morceaux de soufre sous les bras et autour du cou, et les enflammait. Il me lia ensuite les mains derrière le dos et m'éleva jusqu'au plafond. Là, Guitan me laissa suspendue pendant trois ou quatre heures.

À son retour, le démon m’aspergeait le dos d'alcool et y mit le feu.  De très lourds poids furent attachés à mon corps et je fus de nouveau élevé. Après cela, Il me plaça le dos contre une planche hérissée de pointes acérées et me remontait une fois de plus jusqu'au plafond. Il me comprima alors les pouces et les gros orteils dans les vis et me frappait les bras avec un bâton. Je fut laissé ainsi suspendu pendant un quart d'heure jusqu'à ce qu'il s'évanouisse. Puis je lui pressais les mollets et les jambes à la vis. Il me fouetta ensuite avec un fouet conditionné pour me faire saigner.

Il me mit alors à nu et porté sur le chevalet vertical posé contre un mur. J’y fus suspendu avec deux petites cordes. Étant hissé à la hauteur voulue, Guitan me tirait les jambes de chaque côté du chevalet, il m’attacha une corde sur chacune de mes chevilles et tira les cordes ensuite vers le haut, obligeant ainsi mes genoux à toucher les deux planches jusqu'à ce qu'éclatent mes jarrets. Je fus ainsi pendu pendant plus d'une heure.

Ensuite plaçant mon bras droit au-dessus du gauche, il enroula sept fois de suite une corde autour des deux bras et me tenant sur le dos raidissant ses pieds contre mon ventre, il tirait de telle sorte que les cordes me coupèrent les tendons des bras et mis mes os à nu. Mes yeux commencèrent à sortir, ma bouche se mit à mousser et à écumer, et mes dents à remuer comme des baguettes de tambours. Mais en dépit de mes lèvres tremblantes, de mes soupirs, du sang jaillissant de mes bras, de mes tendons brisés, de mes jarrets et de mes genoux, il continuait à frapper ma figure avec des gourdins pour arrêter ses larmes.

Mon corps tremblant fut porté sur un chevalet plat, ma tête pendante placée dans un trou circulaire, mon ventre en l'air, mes bras et mes pieds ligotés, car je devais endurer les pires supplices. Ensuite des cordes furent passées sur le gras de mes jambes, le milieu de mes cuisses et de mes bras, et ces cordes furent attachées à mes chevilles. Le mage noir m’infligea alors sept tortures, chaque torture consistant en une torsion complète des chevilles. Il prit alors un pot plein d'eau dont le fond troué légèrement et le plaçait près de ma bouche. Mes dents furent écartées avec une paire de pinces en fer. Mon ventre commença à grogner terriblement à la manière d'un tambour, je ressentis une peine suffocante avec sa tête penchée vers le sol, l'eau regorgeant dans ma gorge, étranglant et arrêtant ma respiration.

Je demeurais six heures sur ce chevalet et entre chaque application de la torture, il me questionnait pendant une demi-heure, chaque demi-heure me paraissant un enfer. Il continua encore bien que mon corps fut couvert de sang, qu’il soit percé de part en part, que mes os soient broyés ou meurtris et en dépit de mes larmes, de mes gémissements, de mes lèvres et du grincement de mes dents

Quand je fus arraché du chevalet l'eau jaillit de ma bouche. Il me mit des fers sur mes jambes brisées.

Je fus ensuite reconduit à ma cellule. Je priais les dieux pour que cela cesse, pour que tout s'arrête enfin. Des larmes d désespoir mêlées à la douleur coulaient sur mes joues. Je devais avoir six ans tout au plus. Je savais déjà le pris d'une vie. J'avais également conscience de la libération que serait ma mort. Pour la première fois je craquais et perdais tout espoir. Et me croiriez-vous si je vous disais que mes prières avaient été exaucées? Pourtant vous le devriez...

Je ne perdis pas la vie, non bien au contraire... On m'entrouvrit la porte pour qu'enfin je vive et que je cesse de survivre.

Dans mon sommeil, une marque apparu sous moi. Je disparus pour apparaître en un autre lieu. Deux hommes s'y trouvaient l'un deux était mort et l'autre s'effaçait. J'ignorais encore de qui il s'agissait à l'époque. Je fus entièrement soigné et ils placèrent en moi deux sphères de lumière. J'appris par la suite qu'il s'agit du grimoire des trois mages et de celui de l'avenir. Je me souviens encore vaguement de leur propos :

- Pour vous c’est trop risqué, même si vous n’êtes plus, vous ne pouvez le garder.
- Ce n’est pas possible pour toi non plus, je le crains…
- Il ne doit en aucun cas s’attacher à moi, je m’efface.
- Le moment n’est pas encore venu pour lui de partir…
- Je le sais que trop bien. Il ne reste plus qu’à espérer…

À mon réveil, je me trouvais dans une cité en ruine. Pendant deux ans, j'y vécus seul. Tous les trois jours, je devais changer de "trou à rat" pour ne pas que l'on me mette la main dessus. Mes seules préoccupations furent pendant ces deux années de trouver des vivres que je dérobais aux hauts dignitaires du gris et de trouver de "bonnes planques". Je ne devais en aucun cas me servir de la magie afin de ne pas être découvert. Dans mes songes, un homme y venait me rassurer. Il me paraissait d'une douceur et d'une bonté surprenante. Il ne m dévoila jamais son visage et son identité. Il me contait d'anciennes légendes et chantait. Je me souviens plus particulièrement de l'un de ses chants :

Tout le pouvoir d'être fort,
Et la sagesse d'être sage,
Un jour tu auras tout ça en toi.
Tu trouveras dans ton long voyage,
Les réponses que tu cherchais.
Car si tu gravis la montagne,
Tu atteins son sommet.
Enfant de l'Homme, regarde au ciel.
En élevant ton esprit,
Tu atteindras l'arc-en-ciel.
Enfant de l'Homme, tu deviendras un Homme
Personne pour guider ton chemin,
Ni pour prendre ta main.
Mais si la foi en toi résonne,
D'un enfant, tu feras un Homme !
Enfant de l'Homme, regarde au ciel.
En élevant ton esprit,
Tu atteindras l'arc-en-ciel.
Enfant de l'Homme, tu deviendras un Homme !
Découvrir en donnant,
Et donner en découvrant,
Tu trouveras ta place au coeur des tiens.
Toutes les visions, les idées,
Les rêves que tu as faits,
Les plus secrets de tes désirs
Vont bientôt t'appartenir !
Enfant de l'Homme, regarde au ciel.
En élevant ton esprit,
Tu atteindras l'arc-en-ciel.
Enfant de l'Homme, tu deviendras un Homme !

Un jour alors que j'allais chercher des vivres. Sortant de mon misérable trou, je me concentrais pour détecter le moindre mouvement, déplacement d'air autour de moi. J'avançais prudemment parmis les reste des corps et des squelettes avant d'entrer dans la "base" des hauts dignitaires du gris. J'avançais surveillant la moindre vibration suspecte, le moindre écho, la moindre brise.Je déambulais sur mon chemin me mettant à couvert à la moindre chose suspecte. Je sentais l'odeur des corps, de la rouille et quelque chose que je connaissais que trop bien pour l'avoir côtoyé depuis toujours : la mort. Je traversais la salle de l'ordinateur central, que je piratais régulièrement. J'arrivais enfin près du butin tant convoité : les réserves de nourriture des hauts dignitaires du gris.
 
Mon attention baissa. Je sentis une main se poser sur mon épaule. J'avais un petit sombre saut. Mon sang se glaça. Je ne bougeai plus et attendais le verdict, la sentence. Je finis par fermer les yeux. Étonnamment l'homme s'adressa à moi par la pensée. Sa voix était douce et apaisante. Il savait que j'étais muet et aveugle de naissance, il connaissait aussi mon identité. Je me tournais vers lui par pure politesse vue que je ne le distinguais pas. Il me laissa passer mes mains sur son visage pour "visualiser" ce dernier. Je ressentais son énergie et son vide. C’était un mort. Il finit par me décliner son identité. Il me montrait des images de notre monde. Il m'expliqua comment le monde avait tant changé, pourquoi, les divers évènements, les guerres et autres. Il m'expliqua pourquoi tout allait mal et comment j'étais devenu le dernier porteur du sang de la famille aux 5 noms. Il me parla ensuite d'un voyage temporel. Là je me demandais s'il n'avait pas bu et si l'alcool avait le même effet chez les mort et les vivants. Il me remit un parchemin et la j'aurais pu parler, je lui aurais dit t'es malin toi je suis aveugle mais bon sa avait l'air de tellement lui faire plaisir et il avait l'air d'un croire tellement que je préférais me taire. Il me mit une perle noire autour du cou avec mon nom inscrit dessus, mais une fois encore je devais le croire sur parole car bah je suis toujours aveugle. Je ne le contrariais surtout pas car je le prenais vraiment un fou. Je le prenais carrément pour un dingue. Il disparut en me disant que le moment venu je saurais à qui donner son parchemin. Je le rangeais dans ma poche.

Une violente explosion suivit. Je me retrouvais projeté contre un mur que je défonçais. Inconscient, j'arrivais 18 siècles plus tôt. L'homme venait de détruire de façon irréversible mon époque...

J'en ris encore aujourd'hui.

J'atterrissais alors sur un vieil homme. Quand je repense à ma première réaction, je ne peux m'empêcher de rire. J'ai voulu fuir complètement terrorisé, vous pensez bien. J’ai sort un pistolet chargé d'eau bénite et lui aspergea la figure. Je me relevais et parti en courant. Évidemment je n'avais pas eu le temps de "visualiser" le lieu ou je me trouvas. Je percutais un mur et me retrouvais sur les fesses. Avec beaucoup d patience et de douceur, je dois l'admettre, le vieil homme pu m'approcher Il me déclina son identité. Il se nommait Vilonsoria De Borian. Je me crus soudainement fou, l'homme décédé de mon monde se tenait debout devant moi et vivant. Il me parla ensuite d'un bon de 18 siècles dans le temps en arrière. Là, je l'avais pris pour un dément. Quant à moi je pensais avoir perdu la raison. Le parchemin entra alors en scène. Ce n'était autre qu'un ordinateur. Quand je me remémore ça j'en ai mal aux cotes tellement je ris. Évidemment Vilonsoria ne savait pas s'en servir. Malgré mes explications et mes connaissances, il lui fallut trois semaine pour "maîtriser la bête". Entre temps j'avais dû écorcher son nom une bonne vingtaine de fois : srlionbaba, Vrillonpapa bref tout y était passé.

Et puis les vents m'apportèrent enfin de la lumière dans ma nuit éternelle. Un homme croisa ma route. C’était l'un de gardiens d'un certain Naelyan De Borian. Il me dit son nom : Kadaj. Nous ignorions alors notre lien de parenté. Mais bon sang que sa présence était apaisante et sa voix un rayon de soleil.

Il me permit de voir "normalement" pour la première fois. Il me prit en lui et me fit voir le monde au travers de ses yeux. J'ai rarement côtoyé pareil bonheur. Le monde semblait s'ouvrir à moi, tant de richesse, tant de couleurs et de formes... Jamais je n'aurais cru cela possible. Grâce à lui, par la suite j'ai rencontré mon premier ami. Cerbère qui était retombé en enfance tant physiquement que mentalement. Puis je rencontrais des gens formidables comme Naelyan De Borian et son Fils Shadd.

Par la suite, nous apprenions qu'il était mon père. Là, je nageais en plein bonheur. Ce jour la je vivais vraiment et pour la première fois. Et tout s'enchaîna très vite. J'avais deux oncles. Loz, l'aîné de mon père. Un homme génial, déconneur comme pas possible avec un coeur immense où l'on pouvait parfois se perdre. Et Cerbère le cadet qui avait retrouvé son état adulte. Lui se cachait derrière une carapace de fer forgée, mais bon sang que s'était un homme formidable lui aussi et le cœur sur la main. Bon sang que je les aimais... Ils étaient également tous deux des gardiens.

Bien plus tard Shadd retrouva son jumeau, Eitan. Un garçon en or. Je le considérais comme un frère. Puis, plus loin dans le temps Cerbère eut deux fils, des jumeaux : Fennrir et Cerber. Nous étions inséparables tous les trois. Nous étions des frères de coeur. Biensur je rencontrais bien d’autres membres de la famille tels que Pâ, Fenrir, Vincent, Spirit ou encore Gardians. Des êtres tous plus formidables les uns que les autres. Là je découvrais réellement se que vivre signifiait. Biensur vous vous en doutez, tout n'a pas toujours été très rose, j'ai pas mal dérouillé, nous avons eu pas mal d'épreuve à surmonter et de pertes irremplaçables. Mais qu'est ce que tout cela contre dix minutes de bonheur?

Aujourd'hui je vois et je parle. Mon père m'avait rendu mes capacités, mais il m'a fallu plusieurs années avant de ne plus en être effrayé. Je suis devenu un ange gris, un gardien, tout comme mon père et cela par choix. Je suis aussi le gardien des connaissances et du savoir. Je vis de nouveau seul. Je suis le seul survivant, mon père et mon oncle Cerbère se sont effacés car les gardiens n'ont pas de mort. Ils existent puis s'effacent. Ma tante s'est également effacée... Loz et Cerber sont retournés dans le passé pour changer les choses et les faire bouger. Fennrir... Il a été possédé par un démon dans le seul but de pouvoir prévenir ceux qui avaient remonté le temps. Ainsi ils apprirent le nom de cet être immonde. Il a été détruit par Cerber, lange gris détenteur des pouvoirs de Chronos, mais aussi et avant tout son frère jumeau. Fennrir "vit" toujours mais dans le passé. Il existe au travers de son frère et par le médaillon que porte Cerbère. Je vis seul dans une époque incertaine et dans un monde où rien n'est sûr, rien est acquis. Espérant qu'ils puissent changer le cours de choses. Mais je ne baisse cependant pas les bras. Oh non loin de là. Je continue à me battre en souvenir de ceux qui sont partis. Je le fais pour qu'ils ne soient pas morts ou effacer pour rien parce que s'est se que mon père aurait voulu et je le fais aussi pour moi...



Suite



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D
Ce texte est tout bonnemment passionnant. Le personnage mis en scène est passé par de nombreuses épreuve et semble s'en sortir toujours plus fort. S'est un hymne au courage. Un modèle. Bravo!
Répondre
L
Il est vrai que s'est la particularité de mes textes. Les personnages passent par des caps difficilent mais en ressortent grandis et plus fort.